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Autres ingrédients essentiels:

FIBREGUM™ BIO : FIBRES D’ACACIA PRÉBIOTIQUE

LE BREVET QUI OPTIMISE TOUTES NOS FORMULATIONS

QUELS SONT LES BIENFAITS DE LA FIBRE D’ACACIA ?

HAUTE TOLÉRANCE DIGESTIVE

Lors d’une étude réalisée en 2003, il a été rapporté que Fibregum ne provoquait pas d’effets intestinaux indésirables, même en cas de consommation excessive. Les fibres d’acacia ont un impact  très doux sur notre transit intestinal, bien plus doux que les FOS et l’inuline et ne provoquent pas de ballonnements. Au cours de cette étude, Fibregum™ n’a pas induit de flatulences pour des doses inférieures 30 g/jour et des doses quotidiennes supérieures à 50 g/jour n’ont provoqué ni crampes abdominales ni diarrhées.

D’après une étude in vitro publiée en 2013, la fermentation de Fibregum™ est en effet bien différente des FOS. Elle débute dans le colon transversal et dure 24 à 48h. Cette fermentation graduelle se poursuit même dans le colon descendant pour la part résiduelle de la fibre. Ceci explique ses nombreux bénéfices et notamment sa grande tolérabilité.

FOODMAP FRIENDLY

Grâce à Fibregum, les adeptes d’un régime pauvre en Fodmap (glucides fermentescibles) auront toute confiance en la fibre d’acacia car elle fermente très progressivement, sans générer d’inconfort intestinal.

Par sa structure polysaccharidique complexe ne contenant pas de fructose, Fibregum™ est une fibre qui se différencie des FODMAP incriminés aujourd’hui dans l’augmentation des pathologies digestives et intestinales. Les études ont d’ailleurs montré sa haute tolérance digestive et ses mécanismes d’actions au contraire bénéfiques. Fibregum™ a été certifiée FODMAP-friendly par un organisme certificateur agréé. L’index glycémique de la fibre d’acacia est proche de zéro.

EFFETS PRÉBIOTIQUE

La fermentation de Fibregum™ dans le colon est due à des bactéries intestinales particulièrement bénéfiques (bactéries lactiques,Bifidobacteria,Bacteroidetes,…) mais aussi plus spécifiquement de Faecalibacterium prausnitzii.

L’activité de ces souches est stimulée au détriment de celle des bactéries pathogènes. Elle engendre aussi la production d’acides gras à chaînes courtes (SCFA)